Identifiez ce qui vous piège
La façon de percevoir le temps et les priorités est très subjective, propre à chacun. Par exemple :
- Avez-vous tendance à être trop optimiste ou pessimiste quand vous planifiez des délais ?
- Donnez-vous spontanément priorité plutôt à vos propres projets ou plutôt aux demandes des autres ?
Mieux se connaître permet d’identifier les mesures correctives qui nous sont propres.
Soignez la gestion de vos priorités
La pression des urgences conduit aisément à leur donner la priorité, au détriment de sujets de fond plus importants.
- Dotez-vous de routines pour faire régulièrement le point sur vos priorités.
- Organisez votre agenda de façon à garantir le traitement des sujets importants, même non urgents.
Ex. : fixez-vous des « rendez-vous » avec vous-même aussi fermes que ceux sur lesquels vous vous engagez auprès des autres.
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