RENDRE SA TO-DO-LIST EFFICACE
dans PRODUCTIVITÉ
Une to-do-list c’est bien, mais une to-do-list efficace c’est mieux !
Parfois, on a vite fait de se retrouver sous une montagne de choses entassées et de se décourager, ce qui va à l’encontre du concept de la to-do !
J’ai récemment lu un article très intéressant sur le fait qu’une to-do-list peut être anti-productive et je suis totalement en accord avec ça !
TROP DE TÂCHES TUE LA TÂCHE
Pour qu’une to-do soit efficace, il ne faut pas s’encombrer de tâches superflues (sauf si on en a besoin pour se sentir productif, auquel cas on peut se faire plaisir)
Par exemple : « manger » je pense que ce n’est pas nécessaire de le noter ^^
Ensuite, face à une liste de tâches trop importantes, il faut savoir y voir clair, démêler, balayer tout ça pour différencier les tâches :
– Importantes et urgentes – Importantes mais pas urgentes – Urgentes mais pas importantes – A faire dans l’idéal – Bonus (quand on a le temps)
Une fois que l’on a défini l’ordre de priorité de nos tâches, il n’y a plus qu’à se les noter au propre. 
UTILISONS DES COULEURS Pour m’y retrouver j’essaye de penser à utiliser un code couleur. Comme ça, je vois facilement les tâches « focus » (les importantes et urgentes) que je dois réaliser en priorité.
Je note mes tâches « bonus » au crayon à papier, pour pouvoir les effacer / reporter facilement sans (trop) de regrets.
Ensuite, je note le degré d’importance en notant de 0 à 3 « + » (on se rend vite compte qu’il y a peu de tâches très importantes et c’est réconfortant).
Je ne manque pas de noter les deadlines de mes tâches (mais attention, uniquement celles qui ont réellement une deadline imposées, pas mes propres deadlines).
Enfin, je note en face de ma tâche ce dont j’ai besoin pour réaliser ma tâche (appeler quelqu’un, se déplacer, rédiger un courrier…) Ta-da ! Ma to-do est rangée !  HOP HOP HOP, ON S’Y MET.
Une fois que ma to-do est claire et nette, je reporte les tâches (selon les deadlines et les possibilités) dans mon semainier. J’ai créé un semainier sans horaires, juste avec un bloc « matin » et « après-midi » pour me dégager de toute pression.
Le but étant d’être efficace, pas overbooké (après, c’est un choix !) J’ai laissé un espace pour le midi et le soir pour reporter au besoin les menus du jour et tout en bas, il y a un mini bloc « notes » qui sert plutot de pense-bête (1 ou 2 mot clé). 
Je reprends ma légende de couleur de la to-do-list pour une meilleure cohérence et je me note les tâches dispersées dans le temps. Certains préfèreront accomplir le plus de tâches par jour, d’autres auront besoin, au contraire, d’aérer leur agenda, et d’alterner les tâches importantes et falcultatives (qui sont souvent plus légères).
Une to-do-list c’est bien, mais une to-do-list efficace c’est mieux !
Parfois, on a vite fait de se retrouver sous une montagne de choses entassées et de se décourager, ce qui va à l’encontre du concept de la to-do !
J’ai récemment lu un article très intéressant sur le fait qu’une to-do-list peut être anti-productive et je suis totalement en accord avec ça !
TROP DE TÂCHES TUE LA TÂCHE
Pour qu’une to-do soit efficace, il ne faut pas s’encombrer de tâches superflues (sauf si on en a besoin pour se sentir productif, auquel cas on peut se faire plaisir)
Par exemple : « manger » je pense que ce n’est pas nécessaire de le noter ^^
Ensuite, face à une liste de tâches trop importantes, il faut savoir y voir clair, démêler, balayer tout ça pour différencier les tâches :
– Importantes et urgentes – Importantes mais pas urgentes – Urgentes mais pas importantes – A faire dans l’idéal – Bonus (quand on a le temps)
Une fois que l’on a défini l’ordre de priorité de nos tâches, il n’y a plus qu’à se les noter au propre. 
UTILISONS DES COULEURS Pour m’y retrouver j’essaye de penser à utiliser un code couleur. Comme ça, je vois facilement les tâches « focus » (les importantes et urgentes) que je dois réaliser en priorité.
Je note mes tâches « bonus » au crayon à papier, pour pouvoir les effacer / reporter facilement sans (trop) de regrets.
Ensuite, je note le degré d’importance en notant de 0 à 3 « + » (on se rend vite compte qu’il y a peu de tâches très importantes et c’est réconfortant).
Je ne manque pas de noter les deadlines de mes tâches (mais attention, uniquement celles qui ont réellement une deadline imposées, pas mes propres deadlines).
Enfin, je note en face de ma tâche ce dont j’ai besoin pour réaliser ma tâche (appeler quelqu’un, se déplacer, rédiger un courrier…) Ta-da ! Ma to-do est rangée !  HOP HOP HOP, ON S’Y MET.
Une fois que ma to-do est claire et nette, je reporte les tâches (selon les deadlines et les possibilités) dans mon semainier. J’ai créé un semainier sans horaires, juste avec un bloc « matin » et « après-midi » pour me dégager de toute pression.
Le but étant d’être efficace, pas overbooké (après, c’est un choix !) J’ai laissé un espace pour le midi et le soir pour reporter au besoin les menus du jour et tout en bas, il y a un mini bloc « notes » qui sert plutot de pense-bête (1 ou 2 mot clé). 
Je reprends ma légende de couleur de la to-do-list pour une meilleure cohérence et je me note les tâches dispersées dans le temps. Certains préfèreront accomplir le plus de tâches par jour, d’autres auront besoin, au contraire, d’aérer leur agenda, et d’alterner les tâches importantes et falcultatives (qui sont souvent plus légères).
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